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Diferencia entre revisiones de «Henri Labrouste»

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'''(Pierre François) Henri Labrouste''' (11 de mayo de 1801–24 de junio de 1875) fue un arquitecto [[Francia|francés]] de la famosa [[École des Beaux Arts|Escuela de Bellas Artes]]. Tras una estancia de seis años en Roma, Labrouste abrió su propio taller de arquitectura, que rápidamente destacó entre los Racionalistas. Es notable por ser pionero en el empleo de [[Arquitectura del Hierro|estructuras de hierro]].
'''(Pierre François) Henri Labrouste''' (11 de mayo de 1801–24 de junio de 1875) fue un arquitecto [[Francia|francés]] de la famosa Escuela de Bellas Artes y está considerado como la mayor figura del racionalismo neoclásico.


==Biografía==
Espíritu inquieto emprendedor amante de lo nuevo Labrouste aparece ligado ideológicamente a los movimientos renovadores de su país y su influencia se dejó sentir tanto en los momentos revolucionarios de l830 o de l848 como en l870, en los días de la Comuna, en que fue detenido junto con el pintor Courbet. En 1819 inició estudios superiores en la École de Beaux-Arts, fiel guardiana de los estilos académicos donde se ganó fama de trabajador encarnizado y solitario. Pronto tomó conciencia de las deficiencias de la enseñanza oficial en un período, por otra parte de importantes cambios pedagógicos.  
Nacido en París el 11 de mayo de 1801, Labrouste estudió en el Colegio Sainte-Barbe en 1809, y fue admitido en la clase secundaria del taller de Lebas-Vaudoyer de la Real Escuela de Bellas Artes (École des Beaux Arts) en 1819. En 1820, se le ascendió a la primera clase. Compitiendo por el Gran Premio (Grand Prix), Labrouste obtuvo el segundo puesto tras el Palacio de Justicia de Blouet en 1821. En 1823 ganó el premio del departamento, y entró a trabajar como subinspector de obra bajo la dirección de Godde en la construcción de Saint-Pierre-du-Gros-Caillou. En 1824, al ganar el concurso para la Corte Suprema de Apelación, ganó mucha notoriedad. En noviembre del mismo año viajó a Italia, y visitó Turín, Milán, Lodi, Piacenza, Parma, Módena, Bolonia, Florencia y Arezzo.


<!-- traducir del inglés y francés
En 1839 escribía Labrouste: "''La experiencia mostró muy pronto que el dibujo no era solamente el único ejercicio a proponer a los alumnos sino que se habían de iniciar en el arte de construir.''" Pero a pesar de estas reticencias él salió de la École como un virtuoso en esta disciplinar después de recibir diversas menciones y recompensas durante sus estudios. En 1823 ganó una beca para Roma concedida por la Académie des Beaux-Arts y al año siguiente tuvo el atrevimiento de enviar un informe al ministro del ramo en el que pedía que fuera modificado el jurado y la manera de designar al ganador. A consecuencia de ello, en 1831 se creó una comisión de estudios para llevar a acbo la reforma, en la Labrouste participó. El Gran Prix de Roma lo ganó por un proyecto sobre una corte de casación, en el que imitaba las salas de los tribunales de Atenas y de Roma.
Born 11 May 1801 in Paris, Labrouste entered Collège Sainte-Barbe as a student in 1809. He was then admitted to the second class in the Royal School of Beaux Arts to the Lebas-Vaudoyer workshop in 1819. In 1820, he was promoted to the first class.  Competing for the Grand Prix, Labrouste took second place behind the Palais de Justice by Blouet in 1821.  In 1823 he won the departmental prize, and worked as a lieutenant-inspector (''sous-inspecteur'') under the direction of Godde during the construction of Saint-Pierre-du-Gros-Caillou. 1824 was a turning point in Labrouste's life, as he won the competition with a design of a Supreme Court of Appeals. In November he left Paris for Italy, visiting Torino, Milan, Lodi, Piacenza, Parme, Modène, Bologne, Florence, and Arezzo.


Le séjour à Rome : Pensionnaires de l’Etat pendant cinq ans, les lauréats sont logés à la Villa Médicis. Dans l’étude des monuments de l’Antiquité, ils « doivent rechercher les lois des proportions pour les réduire en formules à l’usages des maîtres et des étudiants de Paris ». (Correspondance des directeurs de l’Académie de France à Rome, tome 1, p.28) Cette obligation se traduit par un envoi annuel adressé à l’Académie des Beaux-Arts ; « exposés publiquement à Paris, ces envois consistent pour la première année, détails d’architecture relevés sur les restes d’architecture antique. Pour la deuxième année en un relevé d’ensemble (état actuel) d’un de ces édifices. Les envois de troisième et quatrième année comportent la restoration et la restitution, plus ou moins hypothétiques ou basée sur des données historiques du monument précédemment relevé et d’un autre d’importance plus considérable. » (Encyclopédie de l’Architecture et de la Construction) Pour son envoi de première année, il soumet en avril sept dessins du Temple d’Antonin et de Faustine (1826) Les études romaines commencées l’année précédente nourrissent l’envoi de cette troisième année (1828) qui propose à l’aide de cinq dessins une comparaison entre le Colisée et le Théâtre de Marcellus. Il séjourne la même année par deux fois à Paestum. A son retour il commence la préparation de son envoi de quatrième année consacré aux temples de Paestum. l’année de changement de direction de l’Académie de France à Rome (Vernet remplace Guérin en 1829), voit Labrouste visiter les tombes étrusques de Tarquinia et de Sutres mais aussi Tivoli. Il travaille à son cinquième envoi - un pont destiné à réunir le France et l’Italie - quand arrive à Rome un rapport de l’Académie critiquant la restoration qu’il a fait de Paestum.
A la edad de 23 años pensionado por el Estado durante cinco años, y alojado en la Villa Medici Labrouste tenía el cometido de “buscar las leyes de la proporción con objeto de reducirlas a fórmulas para uso de los maestros y estudiantes de París". Esta obligación llevaba consigo el envío anual a la Académie des Beaux-Arts de diversos trabajos: en el primer año detalles arquitectónicos de restos de edificios antiguos; en el segundo, alzados de conjuntos en su estado actual; y en el tercero y el cuarto restauraciones y restituciones más o menos hipotéticas. Los edificios antiguos de Paestum, Pompeya o Sicilia fueron reproducidos por Labrouste en una serie de dibujos de apreciable belleza que descubren la policromía de los edificios antiguos. Con su sinceridad no exenta de radicalismo, Labrouste mandó las primeras reconstrucciones en color a París, produciendo un considerable revuelo entre los partidarios del modelo neoclásico al mostrar los materiales en sus coloraciones originales, y entusiasmo en los partidarios de la aplicación del hierro en los edificios, pues era un material que les permitiría pintarlos.


A son retour à Paris en 1830, la polémique sur la restoration du Paestum prend de l’ampleur. Durant l’été, il ouvre son atelier le 1er août 1830 (professeur libre d’architecture). En 1834 Labrouste travaille avec Duban sur le nouvel aspect à donner à l’Ecole des Beaux-Arts. Toujours inspecteur à l’Ecole des Beaux-Arts, l’année même où il se marie (1836), il reçoit le programme pour la compétition pour un asile d’aliénés à Lausanne. Nommé architecte de la décoration du Pont de la Concorde, il fournit avec son frère Théodore plus de dix projets ; aucun ne sera retenu. Le projet qu’il soumet à Lausanne en 1837 remporte le premier prix. Il ne sera pas réalisé pour autant ; Labrouste concentre son activité sur les tombes du Baron de Ridèle et de la famille Brunet pour le cimetière parisien de Montparnasse. Nommé en janvier 1838 architecte des Monuments Historiques, Labrouste entreprend ses premiers travaux de restauration. Il est en même temps relevé de sa fonction d’inspecteur à l’Ecole des Beaux-Arts dont les travaux ont bien avancé. Le 6 juin Labrouste est appointé architecte du Dépôt des Marbres sur l’île des Cygnes et le 18 juin architecte de la Bibliothèque Sainte-Geneviève. En octobre de la même année, l’architecte reçoit la commande du nouveau bâtiment destiné aux collections de la Bibliothèques Sainte-Geneviève. En 1839, le projet pour la nouvelle Bibliothèques Sainte-Geneviève est soumis au Conseil des Bâtiments civils en décembre. Labrouste conçoit le frontispice de la Revue générale de l’Architecture et des Travaux Publics. Le projet pour le nouvelle Bibliothèque Sainte-Geneviève est soumis et approuvé en 1840 par le Conseil des Bâtiments civils à la fin du mois de janvier mais sa présentation devant les chambres est en revanche ajournée. Labrouste est au même moment déclaré vainqueur dans la compétition pour la prison d’Alexandrie en Italie, qui ne fut pas réalisée. Architecte de la cérémonie de la Translation des cendres de Napoléon en collaboration avec Visconti, Labrouste donne les dessins de l’embarcadère de Courbevoie, du bateau Catafalque-Char, des Champs-Élysées, du Pont de la Concorde et de l’Esplanade des Invalides. Tandis que le projet pour la nouvelle Bibliothèque Sainte-Geneviève est ajourné, Labrouste est déclaré vainqueur de la compétition des Abattoirs de Provins en 1841. Il reçoit la Légion d’honneur pour sa participation à la translation des cendres napoléoniennes. Jugé l’un des meilleurs de dix projets, son dessin pour le Tombeau de Napoléon aux Invalides : médaille d’or. L’année suivante, le projet original de la Bibliothèques Sainte-Geneviève est de nouveau soumis et approuvé par le Conseil des Bâtiments civils. Labrouste rejoint la Société centrale des Architectes, fondée deux ans auparavant.
De vuelta a París, Labrouste notó una especie de vacío en torno a él y tardó en recibir encargos oficiales. Fundó entonces una academia particular de arquitectura, al frente de la que ejerció una notable influencia en los cerca de 400 alumnos que pasaron por ella hasta su cierre, en 1856. También colaboró durante un tiempo como arquitecto adjunto (inspecteur) de Felix Duban (1797-1870) cuidándose no solamente de la supervisión de las obras sino de su decoración. En la gama de soluciones arquitectónicas que exploró con cuidado, Labrouste mostró una preferencia especial por las capacidades constructivas y formales de los arcos.


La construction de la Bibliothèque Sainte-Geneviève Son projet pour la nouvelle Bibliothèque Sainte-Geneviève reçoit l’approbation définitive auprès des chambres en 1843. Le travail des fondations peuvent commencer le 1er août de la même année. Deux plus tard, Labrouste entreprend la construction de la Colonie agricole de Saint-Firmin. Labrouste est nommé le 7 mars 1848 membre de deux commissions : l’une chargée pour le ministère des Cultes du budget des édifices religieux, l’autre de la forme à donner au Tombeau de l’Empereur aux Invalides. Il conçoit également le jeton de la Société Centrale des Architectes. En 1849, Labrouste est élu vice-président de la Société Centrale des Architectes. Le 4 février 1851 la nouvelle Bibliothèque Sainte-Geneviève est ouverte au public. Le 23 février 1852 Labrouste est promu au rang d’officier de la Légion d’Honneur pour le bâtiment de la nouvelle Bibliothèque Sainte-Geneviève.
Participando en varios concursos intentó lograr la concesión de algunas obras, y aunque sus proyectos fueron elegidos en distintas ocasiones no se llevaron a cabo: panteones, un manicomio, un proyecto para la prisión de Alejandría (1839-1840) cerca de Turín, etc.


Labrouste est successivement nommé architecte du Séminaire de Rennes et de la Bibliothèques nationale, chantier pour lequel il succède à Visconti en 1854. Deux ans plus tard le projet approuvé, la construction du Séminaire de Rennes commence ; entre temps l’architecte a choisi de fermer son atelier parisien. Labrouste propose un projet d’agrandissement pour la Bibliothèque nationale dont la réalisation est entreprise à l’automne 1857. C’est le moment que l’architecte choisit pour séjourner à Londres où il visite longuement le British Museum. Le projet est approuvé en 1859, la construction de la nouvelle salle de lecture de la Bibliothèque nationale commence. Labrouste édifie l’Hôtel Vilgruy sur la place François Ier à Paris en 1865. C’est en remplacement d’Hittorf que Labrouste est finalement élu à l’Académie en 1867. La nouvelle salle de lecture de la Bibliothèque nationale ouvre au public le 2 juin 1868. Durant le moi de mai Labrouste a été élu membre de l’Académie royale des architectes anglais. Il est aussi élu cinq ans plus tard élu à la tête de la Société centrale des architectes ainsi qu’à l’American Institute of Architecture. Rendant hommage à l’un de premiers imprimeurs parisiens, Labrouste installe en 1874 sur le palier de la nouvelle bibliothèque Sainte-Geneviève un monument à Ulrich Gering. Labrouste meurt le 24 juin 1875 à Fontainebleau.
Finalmente vio cumplido Labrouste uno de sus deseos: un encargo oficial consistente en un proyecto de carácter sociocultural: construir la biblioteca de Sainte-Genevieve de consulta y lectura para estudiantes con una capacidad de cuatrocientas plazas y un almacén de ciento veinte mil volúmenes ampliable a trescientos mil.
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Entre sus edificios destacan:
Su proyecto respondió inequívocamente a lo que debe ser una biblioteca: espaciosa, aislada para evitar la propagación de los incendios, cubierta con bóvedas de ladrillo o de hierro que proporcionen suficiente cantidad de luz y garanticen la ausencia de humedades. Labrouste proyectó un edificio de un solo volumen paralelepipédico, de estilo renacentista, sobrio, con cierto aire altivo, incluso triste en opinión de Pevsner y con unos acabados decorativos antiguos: pompeyanos, etruscos e incluso egipcios. Sin embargo, es en su concepción y en su estructura donde estriban los méritos de este edificio. La estructura de hierro, de influencia gótica, se apoya en los muros portantes sosteniendo la bóveda. Se compone de una primera planta de acceso con vestíbulo y depósito para los libros; un primer piso destinado a sala de lectura, y una planta sótano donde se dispone la ventilación y calefacción. La gran sala de lectura no es más que un vasto volumen (84,75 por 21 m) delimitado por los muros con amplios ventanales en la parte superior y por una doble bóveda; ésta la componen unas placas sostenidas por una armadura de fundición que tiene soporte, por una parten en los muros y por otra, en dieciocho columnas de fundición de 4,5 m que descansan sobre pedestales de piedra de 2,5 m y que se prolongan al piso inferior por pilares de piedra. Por encima de las bóvedas gemelas de la gran salan una estructura de hierro recibe la cubierta de zinc, ligada internamente al sistema compuesto por la armadura de las bóvedas y las columnas: siete puntales descansan sobre arcos repartiendo la carga. La decoración se inspira en los repertorios clásicos, sobre todo romanos, pero ofrecidos por Labrouste en una síntesis de indudable atractivo.
 
En la sala de lectura, se disponen tres niveles de estanterías para alojar libros y en la parte superior, hasta la bóveda, se abren grandes ventanales en forma de arco de medio punto, a todo lo largo y ancho del edificio, proporcionando una iluminación natural extraordinaria. Es interesante subrayar cómo en la parte exterior, a continuación del antepecho de las ventanas se reprodujeron a tres columnas listas de nombres de los principales escritores y autores ”del mismo modo que en su interior se conservan sus obras” según palabras de Labrouste, que durante los siete años que duraron las obras siguió día a día las vicisitudes anotándolas en sus cuadernos.
 
Con los trabajos de la Biblioteca de Sainte-Genevieve logró vencer las reticencias y rechazos que tanto tiempo se le habían manifestado y realizó diferentes obras: la colonia agrícola de Saint-Firmin (1845-1848), el gran seminario de Rennes (1853-1872), el hôtel de Vilgruy (1856), etc.
 
En 1856 Labrouste cerró su escuela donde se había enseñado una estricta adhesión a las exigencias constructivas y funcionales, y los alumnos se trasladaron al atelier de Viollet-le-Duc, quien a partir de ese momento fue reconocido como cabeza del movimiento racionalista. Entre 1845 y 1875 Labrouste trabajó en un programa complejo: construcción de una sala grande de lectura con vestíbulo, almacén central y diferentes fachadas en armonía con unos edificios preexistentes y destinada a ser la Biblioteca Nacional. Como en la Biblioteca de Sainte-Genevieve, Labrouste opuso el sistema de dispersión de las bibliotecas salón del siglo XVIII al principio de la concentración de libros, Además, anteponiendo la consideración funcional a cualquier otro criterio en las bibliotecas, dedujo unos principios de organización que todavía se aplican en la actualidad: importancia del almacén y de la circulación dentro de él y separación del almacén y de la sala de consulta. Ésta la construyó levantando una osamenta metálica. Las columnas están reunidas por arcos semicirculares, formados por vigas de hierro, resultando en planta nueve cuadrados de l 0,5 m de lado: los arcos sostienen las bóvedas esféricas constituidas por una armadura metálica y unas placas de cerámica, rematadas cada una de ellas con amplios óculos acristalados. Las columnas de fundición, de 0,3 m de diámetro, descansan sobre pedestales de fundición y base de piedra. En los muros que cierran la sala en la parte superior se realzan los arcos quedando un espacio para la decoración: en el intradós hay unos casetones y medallones reproduciendo una serie de efigies y en los vanos ciegos resultantes se reproducen unos temas vegetales pintados.
 
Pero no acabó ahí la obra de Labrouste, pues incluso los almacenes están llenos de originales aplicaciones. Están en la misma planta y eje que la sala de lectura y se accede a ellos a través de un espacio iluminado y delimitado por una entrada con un gran arco en relieve y flanqueada por enormes cariátides. El almacén central es un rectángulo de 42 m por 29 m. donde las estanterías están dispuestas en espiga, perpendiculares a cada lado del corredor central y a cuatro niveles distintos, comunicados por escaleras y pasarelas voladas. Este almacén iluminado con luz natural a través de un amplio lucernario, fue concebido para contener un millón y medio de libros en una superficie de 1.200 m2. El edificio y los almacenes sufrieron algunas ampliaciones posteriores, en 1939 por ejemplo, pero se mantiene prácticamente intacta toda la obra de su creador. Aunque Labrouste no desarrolló en sus obras todas las posibilidades de flexibilidad que permite la utilización del hierro, pues, al menos externamente, los edificios responden a los sistemas constructivos antiguos, sí que abrió el proceso que habría de enfrentar a los estetas partidarios del repertorio decorativo y de acabados clásicos y a los funcionalistas, para los que la belleza dependía de la adaptación de los edificios a la función, lo cual lleva aparejada la idea de que toda apreciación estética dependerá de los materiales, Sin embargo el desarrollo de una nueva producción arquitectónica permaneció adaptación de los edificios a la función, lo cual vinculado al formalismo académico; las columnas de fundición adoptaron formas acanaladas a la manera de las columnas dóricas y los capiteles se diseñaron siguiendo un estilo compuesto anticuado, Labrouste tuvo el mérito de  emplear el hierro de una manera lógica, raciuonal; sus edificios están tan bien adaptados a su destino que se convirtieron, junto con las  soluciones de otros arquitectos franceses contemporáneos (Belanger, Baltar,o Hittorf), en modelos de imitaciones innumerables.
 
==Obras==
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Imagen:Bibliothèque_St_Geneviève_Paris.jpg|[[Biblioteca de Santa Genoveva]] en París
Imagen:Bibliothèque_St_Geneviève_Paris.jpg|[[Biblioteca de Santa Genoveva]] en París
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* La sala de lectura de la [[Biblioteca Nacional]] {{Francia}}, en la ''[[Rue Richelieu]]'' de París, construida entre 1862 y 1868.
 
* Sala de lectura de la [[Biblioteca Nacional]] {{Francia}}, en la ''[[Rue Richelieu]]'' de París, construida entre 1862 y 1868.


== Enlaces externos ==
== Enlaces externos ==

Revisión del 20:42 18 ago 2011

Henri Labrouste.jpg

(Pierre François) Henri Labrouste (11 de mayo de 1801–24 de junio de 1875) fue un arquitecto francés de la famosa Escuela de Bellas Artes y está considerado como la mayor figura del racionalismo neoclásico.

Espíritu inquieto emprendedor amante de lo nuevo Labrouste aparece ligado ideológicamente a los movimientos renovadores de su país y su influencia se dejó sentir tanto en los momentos revolucionarios de l830 o de l848 como en l870, en los días de la Comuna, en que fue detenido junto con el pintor Courbet. En 1819 inició estudios superiores en la École de Beaux-Arts, fiel guardiana de los estilos académicos donde se ganó fama de trabajador encarnizado y solitario. Pronto tomó conciencia de las deficiencias de la enseñanza oficial en un período, por otra parte de importantes cambios pedagógicos.

En 1839 escribía Labrouste: "La experiencia mostró muy pronto que el dibujo no era solamente el único ejercicio a proponer a los alumnos sino que se habían de iniciar en el arte de construir." Pero a pesar de estas reticencias él salió de la École como un virtuoso en esta disciplinar después de recibir diversas menciones y recompensas durante sus estudios. En 1823 ganó una beca para Roma concedida por la Académie des Beaux-Arts y al año siguiente tuvo el atrevimiento de enviar un informe al ministro del ramo en el que pedía que fuera modificado el jurado y la manera de designar al ganador. A consecuencia de ello, en 1831 se creó una comisión de estudios para llevar a acbo la reforma, en la Labrouste participó. El Gran Prix de Roma lo ganó por un proyecto sobre una corte de casación, en el que imitaba las salas de los tribunales de Atenas y de Roma.

A la edad de 23 años pensionado por el Estado durante cinco años, y alojado en la Villa Medici Labrouste tenía el cometido de “buscar las leyes de la proporción con objeto de reducirlas a fórmulas para uso de los maestros y estudiantes de París". Esta obligación llevaba consigo el envío anual a la Académie des Beaux-Arts de diversos trabajos: en el primer año detalles arquitectónicos de restos de edificios antiguos; en el segundo, alzados de conjuntos en su estado actual; y en el tercero y el cuarto restauraciones y restituciones más o menos hipotéticas. Los edificios antiguos de Paestum, Pompeya o Sicilia fueron reproducidos por Labrouste en una serie de dibujos de apreciable belleza que descubren la policromía de los edificios antiguos. Con su sinceridad no exenta de radicalismo, Labrouste mandó las primeras reconstrucciones en color a París, produciendo un considerable revuelo entre los partidarios del modelo neoclásico al mostrar los materiales en sus coloraciones originales, y entusiasmo en los partidarios de la aplicación del hierro en los edificios, pues era un material que les permitiría pintarlos.

De vuelta a París, Labrouste notó una especie de vacío en torno a él y tardó en recibir encargos oficiales. Fundó entonces una academia particular de arquitectura, al frente de la que ejerció una notable influencia en los cerca de 400 alumnos que pasaron por ella hasta su cierre, en 1856. También colaboró durante un tiempo como arquitecto adjunto (inspecteur) de Felix Duban (1797-1870) cuidándose no solamente de la supervisión de las obras sino de su decoración. En la gama de soluciones arquitectónicas que exploró con cuidado, Labrouste mostró una preferencia especial por las capacidades constructivas y formales de los arcos.

Participando en varios concursos intentó lograr la concesión de algunas obras, y aunque sus proyectos fueron elegidos en distintas ocasiones no se llevaron a cabo: panteones, un manicomio, un proyecto para la prisión de Alejandría (1839-1840) cerca de Turín, etc.

Finalmente vio cumplido Labrouste uno de sus deseos: un encargo oficial consistente en un proyecto de carácter sociocultural: construir la biblioteca de Sainte-Genevieve de consulta y lectura para estudiantes con una capacidad de cuatrocientas plazas y un almacén de ciento veinte mil volúmenes ampliable a trescientos mil.

Su proyecto respondió inequívocamente a lo que debe ser una biblioteca: espaciosa, aislada para evitar la propagación de los incendios, cubierta con bóvedas de ladrillo o de hierro que proporcionen suficiente cantidad de luz y garanticen la ausencia de humedades. Labrouste proyectó un edificio de un solo volumen paralelepipédico, de estilo renacentista, sobrio, con cierto aire altivo, incluso triste en opinión de Pevsner y con unos acabados decorativos antiguos: pompeyanos, etruscos e incluso egipcios. Sin embargo, es en su concepción y en su estructura donde estriban los méritos de este edificio. La estructura de hierro, de influencia gótica, se apoya en los muros portantes sosteniendo la bóveda. Se compone de una primera planta de acceso con vestíbulo y depósito para los libros; un primer piso destinado a sala de lectura, y una planta sótano donde se dispone la ventilación y calefacción. La gran sala de lectura no es más que un vasto volumen (84,75 por 21 m) delimitado por los muros con amplios ventanales en la parte superior y por una doble bóveda; ésta la componen unas placas sostenidas por una armadura de fundición que tiene soporte, por una parten en los muros y por otra, en dieciocho columnas de fundición de 4,5 m que descansan sobre pedestales de piedra de 2,5 m y que se prolongan al piso inferior por pilares de piedra. Por encima de las bóvedas gemelas de la gran salan una estructura de hierro recibe la cubierta de zinc, ligada internamente al sistema compuesto por la armadura de las bóvedas y las columnas: siete puntales descansan sobre arcos repartiendo la carga. La decoración se inspira en los repertorios clásicos, sobre todo romanos, pero ofrecidos por Labrouste en una síntesis de indudable atractivo.

En la sala de lectura, se disponen tres niveles de estanterías para alojar libros y en la parte superior, hasta la bóveda, se abren grandes ventanales en forma de arco de medio punto, a todo lo largo y ancho del edificio, proporcionando una iluminación natural extraordinaria. Es interesante subrayar cómo en la parte exterior, a continuación del antepecho de las ventanas se reprodujeron a tres columnas listas de nombres de los principales escritores y autores ”del mismo modo que en su interior se conservan sus obras” según palabras de Labrouste, que durante los siete años que duraron las obras siguió día a día las vicisitudes anotándolas en sus cuadernos.

Con los trabajos de la Biblioteca de Sainte-Genevieve logró vencer las reticencias y rechazos que tanto tiempo se le habían manifestado y realizó diferentes obras: la colonia agrícola de Saint-Firmin (1845-1848), el gran seminario de Rennes (1853-1872), el hôtel de Vilgruy (1856), etc.

En 1856 Labrouste cerró su escuela donde se había enseñado una estricta adhesión a las exigencias constructivas y funcionales, y los alumnos se trasladaron al atelier de Viollet-le-Duc, quien a partir de ese momento fue reconocido como cabeza del movimiento racionalista. Entre 1845 y 1875 Labrouste trabajó en un programa complejo: construcción de una sala grande de lectura con vestíbulo, almacén central y diferentes fachadas en armonía con unos edificios preexistentes y destinada a ser la Biblioteca Nacional. Como en la Biblioteca de Sainte-Genevieve, Labrouste opuso el sistema de dispersión de las bibliotecas salón del siglo XVIII al principio de la concentración de libros, Además, anteponiendo la consideración funcional a cualquier otro criterio en las bibliotecas, dedujo unos principios de organización que todavía se aplican en la actualidad: importancia del almacén y de la circulación dentro de él y separación del almacén y de la sala de consulta. Ésta la construyó levantando una osamenta metálica. Las columnas están reunidas por arcos semicirculares, formados por vigas de hierro, resultando en planta nueve cuadrados de l 0,5 m de lado: los arcos sostienen las bóvedas esféricas constituidas por una armadura metálica y unas placas de cerámica, rematadas cada una de ellas con amplios óculos acristalados. Las columnas de fundición, de 0,3 m de diámetro, descansan sobre pedestales de fundición y base de piedra. En los muros que cierran la sala en la parte superior se realzan los arcos quedando un espacio para la decoración: en el intradós hay unos casetones y medallones reproduciendo una serie de efigies y en los vanos ciegos resultantes se reproducen unos temas vegetales pintados.

Pero no acabó ahí la obra de Labrouste, pues incluso los almacenes están llenos de originales aplicaciones. Están en la misma planta y eje que la sala de lectura y se accede a ellos a través de un espacio iluminado y delimitado por una entrada con un gran arco en relieve y flanqueada por enormes cariátides. El almacén central es un rectángulo de 42 m por 29 m. donde las estanterías están dispuestas en espiga, perpendiculares a cada lado del corredor central y a cuatro niveles distintos, comunicados por escaleras y pasarelas voladas. Este almacén iluminado con luz natural a través de un amplio lucernario, fue concebido para contener un millón y medio de libros en una superficie de 1.200 m2. El edificio y los almacenes sufrieron algunas ampliaciones posteriores, en 1939 por ejemplo, pero se mantiene prácticamente intacta toda la obra de su creador. Aunque Labrouste no desarrolló en sus obras todas las posibilidades de flexibilidad que permite la utilización del hierro, pues, al menos externamente, los edificios responden a los sistemas constructivos antiguos, sí que abrió el proceso que habría de enfrentar a los estetas partidarios del repertorio decorativo y de acabados clásicos y a los funcionalistas, para los que la belleza dependía de la adaptación de los edificios a la función, lo cual lleva aparejada la idea de que toda apreciación estética dependerá de los materiales, Sin embargo el desarrollo de una nueva producción arquitectónica permaneció adaptación de los edificios a la función, lo cual vinculado al formalismo académico; las columnas de fundición adoptaron formas acanaladas a la manera de las columnas dóricas y los capiteles se diseñaron siguiendo un estilo compuesto anticuado, Labrouste tuvo el mérito de emplear el hierro de una manera lógica, raciuonal; sus edificios están tan bien adaptados a su destino que se convirtieron, junto con las soluciones de otros arquitectos franceses contemporáneos (Belanger, Baltar,o Hittorf), en modelos de imitaciones innumerables.

Obras

Enlaces externos

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